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Message  Invité Lun 24 Nov 2008 - 23:42

C'est des épisodes dispersé de ma vie que j'ai fait copier-coller pour le mettre sur le forum afin de partager.

Peace.

Journal de mes 14 ans


J'aime la littérature. J'aime les livres. Leurs odeur, celle des neuf que je prends soin comme si ils étaient la huitième merveille du monde ainsi que celle des vieux livres que je déniche sur les plus hautes étagères de la bibliothèque de ma grand mère puis je les chéri et que je sers fort contre mon cœur. J'aime la forme que prennent les mots. Les lettres qui s'accouplent pour former des syllabes, puis des phrases qui dansent sur le papier en me racontant une belle histoire. J'apprécie énormément leur façon de décrire, de me sourire, de me faire rire, ou pleurer, j'ai l'impression de faire partit de l'histoire, de vivre le moment présent. J'aime ressentir le soleil qui caresse chaleureusement ma joue et fait briller mes cheveux en plein été, sous un arbre avec mon livre. J'aime imaginer un monde irréel, créatif qui me conviendrait ou je pourrais m'enfermer ou me renfermer encore plus sur moi même. J'aime écrire ce que j'éprouve pour réussir à décoder mes sentiments complexes tout aussi que illogiques et farfelus, j'aime décrire un de mes plus cher souvenirs sur le papier et puis découvrir encore et encore des nouveaux mots, des nouveaux sens que j'ai l'impression qu'ils ont été créé pour moi. J'ai besoin de m'exprimer et d'une façon où d'une autre, j'ai préférée celle là. Hélas, Les dvd on tué la littérature et le patrimoine culturel francophone autant que la Star Académie à tué Mozart. Les livres ne vous servent plus maintenant qu'a entretenir votre pyromanie, à servir comme pied de table quand celle ci est bancale ou encore se faire passer pour une personne avec un quotient intellectuel en s'exhibant avec sur la plage la plus bondée du coin car lire est devenu ringard à un tel point que n'importe qui pourrait te dire que Baudelaire est un chanteur de R'n'B ou un chroniqueur à Canal +. Avoir chez soit des livres est une chose tellement absurde que porter des lunettes ou de se vêtir d'un pull orange ; du coup, la moitié de la population est devenue analphabètes, les seuls qui savent lire sont les vieux cons qui n'ont jamais eu le câble, la population écrit en langage abrégé et texto, on parle aussi en texto, on drague en texto, bref on voit des « slt meuf b1 ? » de partout. Les vieux croûtons appellent sa le langage de l'adolescence mais c'est totalement absurde. Les jeunes ne parlent pas comme sa, les jeunes ne parlent pas. Pour communiquer, ils marmonnent des lettres inaudible que seul eux comprennent, c'est sa le langage des jeunes alors aux vieux snok qui les font chier qu'ils ferment leurs clapets. Et ouais, car les adultes aiment avoir semblant d'avoir raison, ils connaissent évidemment nos pensées, nos modes de vies, que nous sommes tous des « drogués », que nous parlons mal au personnel éducatif, que nous détestons nos parents et encore plus nos beaux-parents pourquoi ? Parce que c'est écrit dans leurs magazines de psychologie. Le monde nous forcent à devenir comme sa alors soit on leurs gueule « FUCK » comme des « adolescent rebelle et survoltés dût à la crise d'hormone » soit on joue le jeu, jusqu'à avoir à notre tour la quarantaine et s'amuser a faire chier nos mômes ou mieux, ceux des autres.


Dernière édition par FLASH le Lun 24 Nov 2008 - 23:53, édité 2 fois

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Message  Invité Lun 24 Nov 2008 - 23:43

- Manon, 14ans. Enchantée de votre connaissance.



Et c'est ainsi que je me prénomme Manon, Je suis une victime des années 90 où la mode en était au prénom de Provence ou plutôt avons le a ce navet de film « Manon des sources » C'est comme si j'appelais mon fils « Petite maison » et ma fille « dans la prairie » Pathétique, c'est ainsi que toutes les filles se prénommes Manon et les garçons Romain. On me demande assez souvent mes origines, car je suis une inclassable. Française de Pur souche on m'a généralement dit que j'avais un visage de russe, des yeux de chinoise et un nez de noir. Les gens sont stupide, ont est ce que ont est et il faudrait arrêter de penser que nos origines ou nos chromosomes ont un rapport quelconque avec cela. Il faut cesser de vouloir tout justifier. On est ce que on est, pas ce que sont nos parents. Notre existence, notre physique, notre caractère, jusqu'à quel marque de sous vêtement nous correspond, sa sert à rien si ce n'est de passez pour un maniaque de la vie, ou un vieux grincheux qui n'a pas été gâté par la nature. Avec un prénom banal, je pourrais m'auto-décrire d'une personne banale. Je vis avec mon temps point. Je suis précoce avec l'alcool et les antidépresseurs certes je ne le nie pas, mais c'est une partie sombre de ma personnalité que je préfère cacher derrière mon masque ou devrai-je dire mon personnage. Grande actrice dans l'âme, pour contrer l'ennui je préfère jouer la vie ou plutôt jouer avec la vie et ce qu'elle nous réserve. Mon passe temps est tel, que de m'amuser à faire naitre des sentiments pour les briser brutalement, de littéralement pourrir une existence, de gâcher la morale et la conscience des autres êtres humains, de leurs faire croire et m'accroître leurs âmes. Tel un vendeur de rêve qui vous fournit de la camelote. Et ce que je préfère c'est les garçons, les proies les plus dure et distrayantes à briser, car en plus, je suis une lâche. Au début, inconsciemment, j'en choisis un. Je l'attire dans mes filets, je ne le veux rien qu'a moi. Je l'envoûte pour que son esprit m'appartienne. Je te séduis, je te souris, te vole des baiser, le plan foire toujours au milieu, le moment où je deviens folle de lui où il commence à accaparer mes pensées, puis je le méprise, je lui fous un gros râteau en public, il est là comme un con, il ne comprend pas. Ils ne comprennent jamais. Pourquoi ? Car je ne sais pas aimer, je ne veux pas l'improviser ou l'apprendre comme sa, il faut son temps. Beaucoup de temps. Je ricane derrière son dos, je le vexe exprès pour lui faire du mal au cœur. Je ne veux que jouer. Jouer comme un maitre qui envoie inlassablement un bâton de bois à son chien qui comme un idiot va le chercher. Embrasse-moi idiot ! Pour voir, pour rigoler, pour s'amuser. Je ne suis conçue que d'amusement. Tu ne perds rien, je suis du tout cuit. C'est comme sa. Handicapée des sentiments, Handicapée du cœur, un gros bordel à moi même. Lunatique, trop lunatique. « Je reste à tes côtés un jour, disparaît la semaine suivante. Pars le plus vite loin de moi, je ne me sens bien qu'en réduisant à néant l'existence des autres et en faisant du mal, je suis pitoyable. Casse-toi et oublie-moi, amis pour la vie. Ne m'aime pas, je ne le mérite pas. » Je m'auto-décris comme inhumaine avec un cœur de pierre, c'est juste que je ne veux plus souffrir a cause des autres, j'inverse la tendance, je fais souffrir les autres, et quand je suis seule, moi même. Je me fais du mal, beaucoup de mal. Je me persuade d'être une solitaire effarouchée et que la mélancolie est mon état permanent. En attendant, mon âme, au plus profond, est salie, je n'ai été conçue que d'arrogance, de mensonges et d'égoïsme, ne le nions pas. Les pensées désobligeantes et les larmes sont mon nouveau carburant depuis quelque temps. Je suis tarée, nul autre mot ne me justifie, tout simplement siphonnée, aussi parce que je suis raide dingue de mes défauts, je suis maso. J'ai toujours aimé la souffrance, je me complais à exacerber mes déception, mes réflexions amères, l'incompréhension de ce monde qui s'étale sous mes yeux, je pressens que la vie est absurde, et que apparemment je ne suis pas la seule à le penser d'après de nombreuses lectures. Je recherche encore et toujours, devrai-je dire pour toujours, une âme identique à la mienne, qui sera sûrement ce que ce concept de superficialité et de commercialisation se nomme le premier amour réel. J'ai été délusion né déjà petite, on m'avait avoué dès ma naissance que le prince charmant n'existait pas. Ce fantasme d'illusion de bonheur que l'on nomme amour n'est qu'un mirage de deux personnes ayant la peur de la solitude qui font tant bien que mal pour tenter de connaître l'osmose qu'ils ne connaitront évidement jamais puisque le réel amour engendre tout de même son cotât de douleur. A travers ma carapace de cynisme, mon cœur est inaccessible, je fuis la dépendance de quelque chose ou quelqu'un. L'amour c'est tout ce qu'a pu trouver pour allier la déprime et justifier les mariages forcé. Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoi l'image à l'infini.

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Message  Invité Lun 24 Nov 2008 - 23:44

- J'aime créer de la souffrance



Je suis une artiste. Mon domaine ? L'art de vivre. Cet art n'est en aucun cas une représentation quelconque qui puisse être vu et revu. L'art de vivre plutôt une sorte de sculpture philosophique et culturel dans la manière d'agir, de penser et de parler. Depuis toute petite, j'ai un tempérament d'artiste, il suffisait juste maintenant de trouver mon registre, or vu que je n'aime pas le pathétisme de se ranger, d'être classée et fourrée dans le même sac que les autres, j'ai créé un art. Un art nouveau. L'art réside au début à prendre des résolutions qu'on ne tiendrait pas. Etre plus gentille, vivre sainement, plus étudier. Puis quand on a compris que sa ne servait a rien car les promesses même personnel son toujours souillée, on se recréer un personnage. Une nouvelle existence, du jour au lendemain, des nouveaux gouts, une nouvelle personnalité, et une nouvelle garde robe. Une réincarnation mentale en quelque sorte. Un art foireux me direz-vous ? Non, car le palmarès de cette art nouveau est de détruire. Tout, les choses matérielles ainsi que immatérielle. Et aucune philosophie au monde ne pourra jamais tenter de justifier cette façon de vivre, cette facette d'être humain qu'on tente de cacher aux yeux de tous pour maintenir le moral des français. J'ai déjà commencé à briser des âmes mais je n'ai jamais pu avoir le cran de terminer mon travail, une signature artistique ? Non, la conscience qui ressurgit ou bien un miracle pour eux ? La seule âme que je pourrais jamais briser jusqu'au néant est la mienne et celle de celui que j'aimerai plus que tout.
Sur le rebord de ma fênetre je ressase mon passé, mon présent, mon avenir.

Je me sent seule, terriblement seule. Je pleure souvent, trop souvent, tout les soirs peut être, tout les soirs je le sais. Je pleure en silence, j'en ai ma claque du silence je veux crier lais je ne sais pas exprimer mes sentiment, j'ai arreter de le faire depuis trois ans, par fiertée peut être. Non, les autres s'en foutent pas mal au fond de savoir se que on est réellement. La solitude me pèse, le silence me pèse tout me pèse. Le vide en dessous de mes pieds, je le regarde puis je regarde le ciel. Le sol, le ciel, que choisir. Je choisit de rester a l'interieur, je descend du rebord de ma fenêtre, je suis trop lâche et trop stupide . Il y a des gens qui m'entourent, ce sont mes amis, mais aucun n'a jamais réellement au fond de lui penser le malheur et le déséspoir que j'avais, le fardeau dont je m'acablait toute seule depuis toujours. Mon fardeau a moi, ma conscience. J'ai besoin de parler, je sais pas vraiment a qui m'adresser.Tanpis, je prendrais tout sur mes épaules, comme toujours.

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Message  Invité Lun 24 Nov 2008 - 23:46

- J'ai rencontré un garçon, je ne l'aime pas mais l'apprécie beaucoup.


On s'est dit bonjours, nous nous sommes revus 2 ou 3 fois et j'ai préparé soigneusement mon plan, tel une sinistre mante religieuse, tel un dictateur se préparant a faire un monstrueux coup d'état, en regardant la pluie tomber, glisser le long de ma fenêtre , comme un mauvais présage, comme un deuil d'âme à l'avance pour mes futurs actes. Le samedi qui suivait, j'allais le revoir, lui. Je me connais par cœur, et encore plus particulièrement les parties les plus sombres, comme d'habitude, j'allais me faire paraître pour une fille « dans le vent » branchée, et sympa. J'allais enfiler ma plus belle tenue, faire ma voix de gentille et surtout, surtout le sourire qui tue, auquel on ne peut dire non, tel le chant des sirènes raconté dans les aventures d'Ulysse, mon arme de destruction massive. Fatale. Je me suis préparée deux jours à l'avance. Le soir même, à une soirée entre amis, je me suis rapprochée, comme un plongeur s'approchait de son poisson avant de lui harponner sadiquement le cœur, avec une flèche douloureusement pointue. J'ai simulé, somme je le suis naturellement douée dans cette catégorie, d'avoir trop bu, je me suis rapprochée de lui et l'ai embrassé, il n'a pas su dire non, quoi que en y repensant, moi non plus. C'est bien normal, c'est un garçon. Stupides ignorants du monde des filles de leurs souffrances, de leurs nonchalances. Ainsi la soirée s'est passée. J'étais bien, tranquille, presque joviale dans ses bras. J'aurai voulu que cette nuit dure pour toujours, sans lendemain, sans se prendre la tête, sans complications. L'euphorie du couché du soleil était présente, un sourire de conne et un rire de pouffiasse aux lèvres. T*. Le lendemain, j'ai largué les amarres comme un bandit quittant une banque encore pleine de richesses. Ensuite, ce fut un véritable harcèlement de la part de notre entourage pour « officialiser » le début d'une relation. Je déteste les officialisations. C'est ringard et sa ne sert a rien. Sa a tout foiré, j'ai tout fait foiré. Je ne voulais pas que sa se passe comme sa. J'ai eu peur, très peur. Je suis rentrée chez moi, j'ai pleuré pendant longtemps sur mon lit en écoutant « Wonderwall » d'Oasis puis j'ai gaffé et fais la conne, même si au départ c'était fait exprès. Le principe était une supercherie montée sur une montagne de superficialité et de snobisme. Je l'ai ignoré, c'était fait exprès, c'était la deuxième phase du plan, après l'avoir rendu accro : je disparais. je ne voulais pas répondre à ses messages, mais à chaque fois qu'il m'en envoyait un, je souriais. Je les comptais, c'est ce qu'il m'a remonté le moral pour que j'affronte la réalité. C'était trop tard, il ne voulait plus de moi, j'était passée de mode, il m'a largué et puis je l'ai largué pour faire semblant d'un « soyons bon amis » Putain. Nous n'avons jamais été amis. Et puis, ce fut dur, forcé de se croiser, de se parler, nos amis étaient communs, j'ai fais semblant d'être la fille expérimentée, sans cœur ni loi, qui pensait à peine, qui se défonçait nuit et jour. Ce samedi là, pour mon anniversaire, nous nous retrouverons ensemble à nouveau à une soirée. Il ira sûrement voir d'autres filles, et moi je pleurerai dans mon coin, où me défoncerait le nez avec du Dafalgan comme les clochards, aussi mes poumons et je mélangerais les médicaments avec de l'alcool pour me faire du bien, pour pas que je le vois, pour qui ne s'aperçoive pas que je l'épi, pour qu'il ne me prend pas pour une folle, pour que, pour qu'il. Je mettrais une jolie et très courte robe de pute, au moins il me regardera, avec un peu de chance, me protègera et me passera son pull quand j'aurai froid, pull que je brûlerais ensuite avec sa cigarette. Je porterai surement de nouvelles basket aux pieds, au moins on aura sa en commun. Samedi je serai un déchet, j'aurai une apparence ectoplasmique, son fait longtemps que je ne mange plus et que je dors peu. Mon état mental sera mort du matin au soir, comme sa quand il me verra, il aura pitié. Pitié de moi. Je pars vers ce point de non-retour vers le pathétisme ambulant. Je me surprends à rêver de crever d'overdose, de mourir d'un coma itylique, de vouloir en finir tout court. Je lui laisserai sûrement un bon dernier souvenir, une bonne dernière impression. Il se sentira pas concerné, il n'est pas concerné, la faute c'est moi, c'est ma création de moi même et ma lucidité à avoir démasqué la réalité sur l'être humain. Il s'en foutra de toute façon car il sera sur le canapé avec un cigare qu'il aura volé à son papa avec sous chaque bras une pute, même pas gentilles, qui sourient jamais, qui elles aux moins sera fichu de ne pas lui faire de mal. Je vais m'approcher de lui, avec l'envie de laisser un baiser sur la joue, qu'il garde une trace et le contour de mes lèvres aussi rouges que le sang. J'ai besoin de me sentir aimé, j'ai besoin de me sentir écoutée. Ensemble on partagera une ou deux cigarettes sur la terrasse. Se sera bien, il ne me reste plus que 2 jours avant d'exécuter mon plan de rechute et passez a l'action. De toute façon, je n'ai jamais vraiment suivit les plans, je me connais

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Message  Invité Lun 24 Nov 2008 - 23:48

J'arrive à la fête après une heure de retard, pas grave j'ai l'habitude. Mon visage semblait resplendir mais à l'intérieur j'étais dévastée de tristesse. Mes jambes étaient divines, ma minuscule robe bustier quasi-inexistante aussi. Bonsoir à tout le monde, c'est fait. Je me suis dirigée vers le bar, et j'ai avalé tout rond les fins de bouteille telle une clocharde, quand je le vit, il était là, il m'attendait. Il était défoncé, sa tombe bien, je l'étais un peu aussi. Quand il m'a vu, il m'appela, il ouvrit ses bras, quand je l'ai vu, j'eu peur. Encore peur. Toujours peur. J'aurai voulu aller le voir, lui dire bonjour gentiment et pouvoir me lâcher et m'éclater en sanglots dans ses bras, mais je ne le fis pas. Je l'ai ignoré, il m'a dit qu'il m'aimait bien même beaucoup. Et les effluves d'alcool qui trônait dans l'air m'ont fait rire, morte de rire, même si je ne le pensais pas. Je ne crois pas qu'il a capté, j'espère, le pauvre c'était méchant. Je lui ai bien dit pourtant, je suis méchante. Je suis allée le voir, puis suis partie, pour enfin revenir et finalement ont a passé le reste de la soirée ensemble en buvant des litres et des litres de vodka pomme affalé sur un transat, une cigarette a deux, ensemble, collés. Et puis, comme si une mouche m'avait piqué, je me levée d'un coup et je suis partie en courant. Il m'a cherché, a crié mon prénom dans la nuit, je l'ai évité, je ne voulais rien entendre, ne pas me laisser allez et perdre le contrôle des choses. Je ne voulais pas devenir accro, je ne voulais pas lui faire du mal. Or je savais que si je ne lui résisterai pas, j'allais craquer et vouloir bien consentir à l'embrasser de nouveau, pour qu'à la fin de compte comme la dernière fois, tout aille trop vite. Je n'étais pas bien, ma tête tournait, tout autour de moi était multiplié par trois, j'avais sans doute un peu trop forcé sur le rosé, peut être était-ce parce que je n'avais pas mangé depuis 2 jours et mon estomac revivait la première guerre mondiale, j'avais peut être aussi un peu trop fumé. Du haut de mes un mètre soixante quinze, au milieu du salon, devant tout mes amis, qui ne s'en était pas rendu compte, je me suis écroulée par terre, sur le carrelage humide et coupant dût aux nombreuses bouteilles cassées. Il est arrivé, m'a relevée et ma allongée sur le canapé. Nous avons décuvé en regardant le match de foot à la télévision. Je ne sais même pas de qui ; la France ou de la Roumanie, a gagné, l'important c'était nos mains liées sur moi et nos état à la limite du comique, vous auriez dut voir sa. Puis mon téléphone sonna, l'heure de partir arriva, j'ai volé 1 bouteille et quelques clopes au passage pour finir ma nuit seule avec mes pensées qui dansait n'importe comment sur une musique mal ordonnée.

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Message  Invité Lun 24 Nov 2008 - 23:49

- Maman.


J'ai envie de crier. J'ai envie de hurler. Hurler que je suis déçue de nous, déçue de moi. J'aurai aimé être avec toi une mère-fille comme on peut en voir dans les magazines ou bien à la télévision hélas. Nous ne nous aimons plus. Tu préfère jouer le jeu de l'éducation, c'est pathétiquement ridicule. Maman, tu n'es pas comme sa. Tu n'es pas une de ses personnes en difficulté, tu ne devrais pas vouloir te conformer au pseudo stéréotype de la famille bourgeoise heureuse et saine. Tu es déjà parfaite. Tout cela n'est que des mensonges. Tu m'as créé, tu m'as mise au monde. Et même si je ne suis pas ce que tu as sans doute voulu. Même si je suis née fille et non pas garçon. Même si tu ne pourras jamais m'amener au prix de la formule un de Monaco, même si je ne m'appellerai sans doute jamais Hugo. Je t'aime. Je t'aimais. L'amour familial se dit quand il est présent. Or je ne veux pas te mentir que j'ai besoin d'un break. Ton obsession d'une famille paisible à la Montagne me hante partout où que j'aille. Tes paroles, tes phrases, tes ordres de titre ménagers me harcellent. J'ai besoin de ta confiance, si tu n'a pas confiance en moi, jamais je n'aurai confiance en moi même, J'ai besoin de ton amour. Le tien. Et je le voudrai non pas à ta manière qui ne s'accorde pas à la mienne. Je voudrais que tu sois relaxée, douce, gentille. Tu n'es plus ce que tu étais, tu as changée à cause d'un connard qui se fout de ta gueule, mais qui lui au moins te baise, alors on appelle sa de l'amour. Et notre attitude à ma sœur et moi envers lui est appelée « Refus d'un nouvel homme pour sa mère » dixit les magazines périmé, écrit par des mères célibataire avec des enfants qui se sont tiré une balle à cause d'eux, disposés sur la table de ton psychologue. J'ai l'impression que tu t'en fous de savoir les vérités, je suis la plus jeune. L'Idéale à accuser dès que on perd quelque chose. Tu te moque de moi en me disant que je me traite comme une stupide victime, « le vilain petit canard de la famille » mais au fond, je sais que t'est comme même la seule qui prend de temps en temps l'initiative de me parler. Maman. Celle qui m'a donnée la vie, m'a lotît, m'a vêtit, me nourrit, ma refourgué une sœur, à collé du papier peint rose dans ma chambre petite, m'a fait des crêpes et de la pate à sel, celle qui me voit grandir au fur et à mesure des années, celle qui me voit vieillir et me désintégrer de la société, maman. Merci. Merci pour tout, de m'aider d'être là, tu es ma mère et j'en suis éternellement reconnaissante.

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Message  Adèle Mar 25 Nov 2008 - 16:11

    J'arrive pas à me faire un opinion, tes textes sont si personnel. Comment arrives tu a te sonder ainsi ? a mettre sur papier tout ce que tu connais de toi ? J'en suis incapable et je m'en veut. Je jalouse la facilité que tu as à tout retranscrire. C'est beau et en même temps ça me fait peur ...
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Message  Invité Mer 26 Nov 2008 - 17:15

C'est simple, sa me fait peur a moi aussi. En me relisant je m'aperçoit telle quelle. Monstreuse et sucidaire. Triste mais heureuse. J'aime se que je suis malgré moi et se que je fais je le prévoit inconsciament tout en riant dans mon moi profond, c'est compliqué, moi même j'ai du mal a me comprendre mais mon esprit parle et écrit pour moi, ilse laisse aller et détails les faits. J'ai qu'une envie c'est d'arrêter tout cela pour de bon mais c'est impossible, je suis cette personne je ne peux donc la fuire. Mon esprit me hante et je ne peux rien faire que le suivre au plus grand déséspoire malgrès moi, j'ai perdu tout contrôle de mon âme alors pour rassurer mon entourage je fais semblant d'être un banale personne normale. Et je pleure quand ma maman hier m'a demandé "que-ce qui ne va pas, je sens que sa va mal?" et que d'un ton hautain je lui répond "Mais non voyons maman , pourquoi irai-je mal tout va bien." Quand elle a fermé la porte, j'ai pleuré, j'aurai tant voulu lui répondre, " Sa va pas, ce soir je voulais en finir, et sa n'a pas marché, tes somnifères que j'ai volé dans ta table de nuit n'ont pas fait effet sur moi."

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Message  Invité Dim 21 Déc 2008 - 17:33

Je reste perplexe, je me demande en vain où se situe l'intelligence des hommes et pourquoi ne reviennent-ils pas à la raison. Bourrés d'orgueil, d'arrogance et de préjugés. Honte à la FRANCE.

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